La flotte du groupe MTA vers un basculement intégral au B100
Le transporteur nantais va convertir trois de ses agences dès cet été, pour qu'elles roulent à 100 % en B100. Le groupe MTA, qui travaille avec Oleo100, compte faire de même avec ses sites des Pays de la Loire et de Normandie.
Le groupe MTA est passé au B100 avec Oleo100 depuis quatre ans. ©Convergence Média
Cela fait maintenant quatre ans que le groupe MTA a noué un partenariat étroit avec Oleo100. Le transporteur né et basé à Nantes voit en le B100 une alternative pérenne aux carburants fossiles. Après des résultats convaincants, le groupe a décidé de passer la vitesse supérieure.
77 véhicules B100
Dès cet été, trois de ses agences, qui couvrent toute la Bretagne et la région nantaise, rouleront à 100 % en B100. 44 tracteurs Renault Trucks sont déjà en circulation. Le total de véhicules B100 prévus en 2025 s'élève à 77, dont 30 porteurs 19 tonnes. L'objectif est d'éviter l'émission de 4 500 tonnes de CO2 chaque année.
"Nous avons fait le choix Oleo100 car c’est une solution clé en main, éprouvée, produite en France, qui nous permet de conjuguer performance économique et responsabilité environnementale, commente Yannick Manac'h, directeur régional Bretagne/Basse-Normandie. Aujourd’hui, six départements sont déjà couverts à 100 % en B100. Notre objectif est clair : dès cet été, étendre cette dynamique à l’ensemble des départements bretons, ainsi qu’à la Loire-Atlantique et à la Mayenne puis étendre cette solution sur le quart nord-ouest de la France."
Les promesses d'Oleo100 avec son B100 sont la réduction d’au moins 60 % des émissions de CO2 et jusqu’à 80 % des particules fines par rapport au diesel fossile. Le groupe MTA compte par la suite compléter l’équipement de l’ensemble des agences des Pays de la Loire et de la Normandie en véhicules décarbonés d’ici deux ans.
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