Scania France reste un "Top employer"
"Ce résultat très satisfaisant est une reconnaissance de notre culture d’entreprise. D’année en année, nous améliorons nos process au bénéfice de nos collaborateurs et pour donner envie à de futurs talents de nous rejoindre." Sandrine Monnier, DRH de Scania France, se félicite de la nouvelle. Le constructeur a obtenu, pour sa filiale française, la certification Top employer pour la 8e année de suite.
Un score de 77 %
Top Employer Institute est un organisme international et indépendant qui évalue chaque année les entreprises candidates pour décerner la certification Top employer. Pour cette édition, elle a étudié 350 pratiques, réparties en vingt critères dans six domaines majeurs : piloter, organiser, attirer, développer, engager, rassembler. Scania France a décroché un score global proche de 77 %, en progression.
Le constructeur a particulièrement performé sur la partie "digital RH". Cela est dû à la mise en place du SIRH (Système d’information des ressources humaines) My Success, basé sur la solution SAP SuccessFactors. Avec cette solution, le constructeur peut offrir une meilleure expérience collaborateur, avec des processus simplifiés et accessibles en ligne. La gestion des carrières et des compétences est par ailleurs plus performante et offre aux salariés une plus grande visibilité sur leurs parcours professionnels. Le suivi des performances et des objectifs est également plus précis.
Refont du site de recrutement
En parallèle, la refonte du site scaniarecrute.fr a permis de renforcer la fluidité du parcours des candidats qui souhaitent rejoindre Scania France. Ils ont accès à davantage d’informations sur les postes vacants ou encore l’ambiance au sein de l’entreprise.
"Nous avons aussi dynamisé notre politique de cooptation permettant aux collaborateurs de présenter une relation de confiance issue de leur réseau professionnel. Un levier très efficace. Enfin, nos managers ont mené de nombreuses actions, notamment au sein des écoles, pour présenter nos métiers et encourager les vocations", conclut Sandrine Monnier.