immatriculations

Le 3e Panorama de la filière véhicules industriels et utilitaires de Mobilians et de la FFC Constructeurs dresse un portrait vieillissant du parc de poids lourds français. En revanche, les carnets de commandes se remplissent, notamment avec les énergies alternatives.

Le bilan de rentrée de la Csiam fait état d'une baisse des immatriculations de poids lourds de près de 17 % sur les huit premiers mois de l'année 2025 en France. En revanche, les mises à la route de camions électriques ont bondi, frôlant les 2 % de part de marché.

Au premier semestre 2025, les immatriculations de véhicules utilitaires et industriels ont fortement reculé en Europe. Les poids lourds affichent une baisse de 15,4 %, tirée vers le bas par l’Allemagne et la France. Si les motorisations électriques progressent, leur part marginale peine à compenser le ralentissement global.

La dernière étude de l’Observatoire du véhicule industriel (OVI) fait état d'une baisse importante des immatriculations des camions de plus de cinq tonnes en France début 2025. Le second semestre pourrait être légèrement mieux, mais la barre symbolique des 40 000 unités sera difficilement atteignable.

L’Observatoire du véhicule industriel (OVI) dévoile un nombre d'immatriculations des poids lourds de plus de cinq tonnes stable en 2024, et surtout favorable aux porteurs. Mais les carnets de commandes se vident et les prévisions pour 2025 ne sont pas flamboyantes.

Sur les près de 34 000 poids lourds immatriculés en France entre janvier et août 2024, seuls 0,9 % roulent à l'électrique. Une part encore faible, qui ne pourra augmenter que si les aides continuent de suivre. Et, en attendant, les biocarburants doivent poursuivre leur progression.

Après une année 2023 prolifique, et malgré un début 2024 dans cette lignée, les immatriculations de poids lourds (plus de 5,1 tonnes) sont en baisse à fin août 2024. La tendance devrait se poursuivre compte tenu des menus carnets de commandes des constructeurs.

L’OVI (Observatoire du véhicule industriel) vient de présenter les résultats de son étude sur le marché du poids lourd. Malgré une légère progression des ventes au premier semestre 2024, l'organisme redoute un coup de frein dans les prochains mois.