Les organisations professionnelles du transport routier de marchandises ont remis au gouvernement leurs travaux sur la transition énergétique. Parmi leurs préconisations, elles recommandent de s’appuyer sur un mix d’énergies décarbonées.
Le baromètre de la FNTR dévoile une conjoncture toujours dégradée pour le marché du transport routier de marchandises au cours des trois premiers mois de 2023. Tous les indicateurs d’activité sont à la baisse et la tendance semble se poursuivre au deuxième trimestre.
Réagissant à la proposition de la Commission européenne sur les normes CO2 des poids lourds, la FNTR, associée à ses homologues allemande et nordique, salue les ambitions de Bruxelles. Mais elle déplore l'absence de considération pour les carburants "climatiquement neutres".
L'électrique n'est pas la seule voie possible : c'est le message adressé par de nombreux acteurs de la filière du camion à la Commission européenne. Dans une lettre ouverte, ces derniers militent pour que le potentiel de décarbonation des carburants durables et renouvelables ne soit pas ignoré.
La filière du Transport et de la Logistique sollicite le gouvernement pour la mise en œuvre d'un plan de résilience, afin de soutenir les entreprises face à la hausse fulgurante des prix du carburant.
Face à la flambée sans précédent des prix des carburants, l’OTRE, la FNTR, la FNTV et l’Union TLF ont adressé une lettre ouverte au Premier ministre pour réclamer des mesures fortes de soutien au secteur du transport routier.
L’année écoulée a remis sur le devant de la scène le rôle essentiel du transport routier de marchandises. Mais certaines idées reçues ont la vie dure. C’est pourquoi la FNTR lance une nouvelle campagne de communication grand public destinée à lutter contre ces préjugés.
La FNTR publie son baromètre pour le 1er trimestre 2021 et le constat est sans appel : l’activité demeure toujours très en deçà de sa moyenne de longue période et de son niveau d’avant-crise. Une situation difficile qui témoigne d’un secteur qui reste très fragilisé.
Actuellement en débat à l’Assemblée nationale, le projet de loi Climat et résilience va peser lourd sur les finances des entreprises françaises du transport et de la logistique, sur l’emploi et sur le portefeuille des citoyens selon les organisations professionnelles du secteur.